Les étudiants de 2e année du Programme Grande École et du Bachelor de l’EDC Paris Business School se sont essayés à l’art du slam dans le cadre du module « soft skills ». Le 12 et 13 janvier, ces étudiants ont pu découvrir cette activité artistique, encadrée par Edgar Sekloka, auteur et slameur professionnel. À travers cette expérience, les étudiants ont su développer leur créativité et leur prise de parole en public.
Objectif : développer l’éloquence des étudiants d’EDC
Durant ce Slam Contest, les étudiants de l’EDC Paris Business School ont été encadrés par un slameur professionnel et Alya Mlaiki, enseignante-chercheuse en charge du module « soft skills ». Ils ont ainsi pu découvrir différentes techniques d’écritures, jeux sur les sonorités, rythme, voix et posture adéquate.
À travers ces exercices, l’EDC Paris Business School tend à aider les étudiants à gérer leur stress et améliorer leur prise de parole en public face à un auditoire. « Le slam est un art de la parole dont l’objectif est de donner vie à un texte en général, par la voix. Ces ateliers mettent l’accent sur l’aspect oral de la poésie de façon ludique et collective », explique Edgar Sekloka.
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Le Slam Contest de l’EDC Paris Business School
C’est la seconde fois que l’EDC Paris Busines School organise un tel évènement. Durant 2 jours, les étudiants en 2e année du PGE et du Bachelor se sont affrontés lors du concours de slam, intitulé Slam Contest.
La première journée, ces étudiants ont dû, par équipe et dans un temps limité, composer un texte sur la thématique de « l’argent ». La deuxième journée, quant à elle, était consacrée à la mise en scène. Les différentes équipes ont été évaluées par un jury de professionnels sur différents critères tels que la qualité et la pertinence de l’écriture, la diction, la prestance et la dynamique de groupe. Après un premier passage, 5 équipes ont été sélectionnées afin de s’affronter lors d’une grande finale, organisée autour du thème du « pouvoir ».
« La mise en place d’ateliers Slam est un parfait exemple de pratiques artistiques aux avantages pédagogiques multiples. D’une part, ces ateliers sont pour les étudiants un moyen ludique pour se confronter à l’exercice de l’écriture créative, et d’autre part, ils leur permettent de s’entraîner à la diction et à la prise de parole en public », explique Alya Mlaiki. Une démarche saluée par les étudiants, qui leur a permis de s’exercer à la prise de parole à l’approche du concours d’éloquence prévu au second trimestre.
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