Ce mercredi 27 octobre s’est tenue, sur le campus du Cours Florent, la conférence de Paris School of Business animée par Philippe Jamet, dean de l’école, Vanessa Diriart, présidente de Galileo Global Education et Héger Gabteni, directrice académique et de la recherche. L’école a présenté toutes les nouveautés qui attendront les étudiants à la rentrée 2022.
Paris School of Business fait partie du groupe Galileo Global Education. L’école a été créée en 1974 et ne cesse de se développer et de se réinventer afin de former des managers créatifs et agiles. Aujourd’hui, elle a détaillé les grandes actualités de cette rentrée académique, ainsi que ses ambitions stratégiques pour les années à venir.
Le groupe Galileo Global Education est l’un des géants européens de l’enseignement privé, leader en France. Il compte au total 160 00 étudiants, dont 110 000 au sein de l’Hexagone. La présidente du groupe, Vanessa Diriart, qualifie PSB comme étant « leur navire amiral » et leur « plus grande école de commerce et de management ». La business school est fortement axée sur l’international. Elle compte 25% d’étudiants étrangers et se qualifie comme étant professionnalisante. En effet, 15 000 étudiants de Galileo Global Education suivent un cursus en alternance.
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Les grandes actualités de la rentrée 2021 de PSB
Pour PSB, la reprise des cours se fait en présentiel mais reste toutefois fortement teintée par les héritages du Covid-19. L’école a pris la décision de maintenir une part de distanciel (20/25%) pour des raisons conjoncturelles. La première est qu’elle considère que la pandémie n’est pas tout à fait derrière nous. Mais la raison principale est surtout pédagogique : la pandémie laisse des traces profondes dans l’organisation des entreprises. Le télétravail est devenu une réalité dans les organisations. Selon une étude menée par McKinsey, plus de la moitié des salariés souhaite désormais faire 3 journées de télétravail par semaine.
Les processus en entreprise ont changé et les futurs managers sont tenus de s’adapter et de prendre l’habitude du distanciel, une dynamique que suit PSB dans ses enseignements. L’école a prévu un accompagnement renforcé auprès des étudiants, et plus particulièrement sur la deuxième année du PGE et du Bachelor, puisque les étudiants ont vécu une année 2020-2021 très atypique.
PSB en chiffres clés
Aujourd’hui, PSB, c’est :
- 4 377 étudiants en 2021
- 1 900 étudiants en alternance
- +15% de progression depuis 2018-2019
- 43 millions d’euros de budget
- 25% d’étudiants étrangers
- 85% d’étudiants en Master Grande École en alternance
En outre, PSB accueille de nouveaux enseignants chercheurs, dont 36% d’étrangers. Si l’établissement a réalisé de nouveaux recrutements, c’est pour consolider la recherche au sein de l’école et des programmes et alimenter l’expérience étudiante par des projets de recherche scientifique.
Paris School of Business a par ailleurs signé un nouveau partenariat avec HESAM Université. Il s’agit d’une communauté d’enseignement supérieur qui a comme priorité l’hybridation entre les technologies, les arts et bien d’autres disciplines. Cette vision s’inscrit pleinement dans la trajectoire d’excellence de PSB qui se décompose en 3 principaux volets :
- Pédagogique : tirer profit de la pluralité des écoles (art, design, etc.) du groupe Galileo Global Education
- Recherche : alimenter la recherche de PSB
- Entrepreneuriat : accompagner les étudiants de PSB dans leur aventure entrepreneuriale
La grande nouveauté qui marque cette rentrée scolaire est l’arrivée d’Antoine Veniard en tant que directeur des programmes. Ce dernier a œuvré pendant 20 ans au sein de l’EM Normandie et va permettre de développer et transformer les formations de l’école.
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Les grands piliers de la stratégie 2025 de PSB
L’école s’appuie sur trois principaux accélérateurs stratégiques. Le premier est l’école augmentée. Pour cela, PSB peut compter sur la force du groupe Galiléo Global Education qui affiche des écoles en art et création, en management, en multimédia et en santé. L’objectif est d’offrir une expérience académique enrichie des séminaires que les étudiants de PSB pourront réaliser dans d’autres établissements du groupe.
PSB misera aussi sur les campus hybrides. L’école compte s’installer au campus Claude Bernard qui s’étale sur une superficie de 20 000 m2, au cœur du quartier étudiant historique de Paris. Ce dernier sera à la fois une vitrine et un laboratoire de recherche. L’objectif premier est de profiter de la synergie avec d’autres écoles prestigieuses en Arts & Création et en Digital & Tech du groupe Galileo, offrant ainsi une expérience étudiante hors du commun. L’école se positionne ainsi en combattant avec ses propres armes. « Entrer dans cette école, c’est entrer dans un univers qui offre énormément d’opportunités », souligne le dean de l’école, Philippe Jamet.
Enfin, PSB souhaite renforcer le développement de partenariats académiques nationaux et internationaux. L’établissement souhaite mettre en place des parcours hybrides avec des écoles du groupe Galileo Global Education. Les étudiants auront la possibilité de choisir à la carte des séminaires dans des univers aussi créatifs que diversifiés (luxe, art, entrepreneuriat, etc.). L’objectif ? Leur permettre d’hybrider leurs compétences en management. L’hybridation est au cœur de la stratégie de développement internationale de l’école.
Les grands chantiers de Paris School of Business
Paris School of Business a mis en avant quatre grands chantiers pour les prochaines années. Le premier est la refonte du Programme Grande École. L’établissement souhaite effectuer un travail en profondeur sur les différents cursus et les faire passer à un stade supérieure. L’école a 3 objectifs principaux : garantir la professionnalisation des étudiants et leur assurer une expérience étudiante unique et un parcours augmenté. Dès leur première année, les élèves de PSB auront l’occasion de se confronter à un projet entrepreneurial, lié au développement durable ou à l’international. Les mots clés sont : autonomie, accompagnement, hybridation et engagement.
PSB souhaite travailler sur l’environnement apprenant et l’expérience étudiants. Cela représente un chantier d’une très grande ampleur. L’objectif est que les étudiants de l’école vivent une expérience enrichie dans un campus stimulant et un environnement qui soit à leur écoute. Pour ce faire, la business school a développé sa politique de bourses et a investi massivement pour proposer des campus accueillants et stimulants.
La business school souhaite également faire de la recherche un levier d’attractivité et porter la recherche dans sa dimension stratégique en acquérant une belle place dans les classements internationaux.
Enfin, PSB souhaite valoriser sa marque. Elle entend augmenter le club d’entreprises partenaires pour en faire bénéficier les étudiants, préserver son entrée au classement du Financial Times et acquérir une place plus stabilisée dans ce type de classement.
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Galileo Global Education : Un groupe au service du réseau
Galileo Global Education est au service de ses écoles. Le groupe profite de ses infrastructures pour faciliter les grandes transitions technologiques et éducatives des différents acteurs. PSB bénéficie non seulement de l’univers hybride des écoles du groupe, mais également du support technique, pédagogique, administratif et financier de la plateforme GGE.
La direction de l’innovation du groupe opère, fédère et profite de sa puissance créative, pour en faire bénéficier l’ensemble de son écosystème. À ce titre, le groupe a lancé le concept Happy student maker, ce qui signifie que chaque collaborateur de Galileo est au service des étudiants. L’une des valeurs de l’école est de donner à l’étudiant le droit à l’erreur et la possibilité de se réinventer à tout moment.
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