BERENGERE ITEY
Lorsque j'étais plus jeune, mon institutrice voulait me placer en école spécialisée, chose que ma mère à toujours refusé bien que j'ai eu quelques difficultés s...
Né à Paris en 1997, je n'y ai vécu que 6 mois avant de partir vivre 5 ans à Buenos Aires, en Argentine, pour le travail de mon père. Par la suite, j’ai passé 5 ans dans la ville de Rouen avant que mes parents ne décident de s’installer définitivement à Bordeaux, où j’ai réalisé mon collège et mon lycée.
Depuis le début de mes études à l’ICAM Toulouse, en 2015, je suis assuré de mon réel intérêt pour la mécanique et l’automatique. Grâce à la formation dispensée par l’école, je suis aujourd’hui certain des secteurs plus spécifiques dans lesquels je désire travailler.
A la fin de ma première année d’étude, j’ai effectué mon stage « Expérience de Travail Opérateur » en Italie du Nord au sein de la société GAI. Cette entreprise est l’un des leaders dans la conception et la fabrication de machines pour l’embouteillage dans les secteurs du vin et de la bière. C’est à cette occasion, que j’ai pu intégrer une équipe de professionnels et perfectionner mes connaissances en Italien.
A la fin de ma seconde année, j’ai souhaité renouveler l’expérience du stage à l’étranger. Dans le cadre de ma Première Mission en Entreprise, j’ai eu l’opportunité de partir aux Etats-Unis. J’ai effectué cette période dans une PME basée en Californie, qui m’a impressionnée par la modernité des machines de filtration fabriquées. De plus, de nos jours, le fait de maîtriser la langue anglaise est indispensable. J’ai pu effectuer diverses missions au sein de l’entreprise, ce qui m’a permis d’en observer l’organisation en profondeur.
En effectuant mon stage ETO en Italie et mon stage PME en Californie, je me suis adapté à des conditions de vie différentes. Ces expériences enrichissantes m’ont permis de faire de nombreuses rencontres et de découvrir de nouvelles cultures. De plus, mes expériences en entreprise m’ont permis d’affiner le choix de ma future carrière.
Par la suite, pour clôturer notre troisième année d’étude, une expérience très enrichissante m’a permis de me rendre compte que je voulais devenir « ingénieur commercial ». En effet, j’ai eu la chance de découvrir ce métier durant 4 mois d’ « Expériment », où j’ai pu visiter le Chili, l’Argentine, le Pérou et l’Uruguay tout en travaillant. Un « ingénieur commercial » est une personne qui vend des produits techniques (machines, électroniques…) capable de répondre à l’exigence du client tout en comprenant techniquement la machine.
Ensuite, pour le second semestre de l’année 2018-2019, j’ai pu partir dans l’Université de « Politecnico di Milano ». Cette université proposait une formation en génie mécanique ainsi qu’en ingénierie de gestion qui m’intéressait vivement. Cette filière de gestion développe des qualités de planification stratégique et marketing mais aussi d’organisation des moyens de production et de logistique. Ces programmes d’études complémentaires ont confirmé ma motivation. Les compétences que ces formations développent, étaient des avantages pour ma vie professionnelle future.
Grâce à mes expériences en entreprise et à l’Université Polytechnique de Milan, j’ai affiné le choix de ma future carrière. En effet, après l’obtention de mon diplôme d’ingénieur ICAM, je voulais poursuivre mes études quelques mois par un master international en commerce et en gestion.
C’est pour cette raison que je suis actuellement étudiant à L’Université de Laval pour suivre un MBA en Gestion des entreprises durant un an. Elle propose une formation complémentaire en administration des entreprises qui m’intéresse vivement. Elle dispense des cours qui visent à améliorer le processus stratégique des sociétés en mettant en place un management judicieux mais aussi une gestion financière d’une grande exigence. Ce MBA est vraiment concret et appliqué.
Les compétences en gestion et marketing que permet d’acquérir ce programme d’étude, viendront parachever ma formation et me seront très utiles dans ma vie professionnelle future. J’envisage, éventuellement, d’intégrer, à plus long terme, l’entreprise familiale qui a une forte présence à l’international (60% du chiffre d’affaire à l’export). Il s’agit de la société CAZAUX ROTORFLEX, qui développe et commercialise des pompes œnologiques: 27 pays concernés par l’achat/vente de ces machines. J’y ai effectué plusieurs stages: ouvrier sur des postes de fabrication, puis de technicien assistant et de chargé des approvisionnements. On m’a aussi confié, cette année, de mener à bien un projet de réaménagement des espaces-ateliers comportant une future gestion optimisée du travail par le recours à la robotique. Le secteur du vin est un milieu très intéressant et les machines tendent à se développer dans tous les liquides agro-alimentaires (lait, huiles, jus).
L’obtention du double diplôme en gestion d’entreprise, l’année prochaine, me permettra de n’avoir pas à mettre entre parenthèses ma carrière pour acquérir ces notions nécessaires. Ainsi, je pourrai me consacrer à d’autres projets professionnels.
A l’origine, j’ai postulé à l’ICAM afin d’acquérir les compétences d’un ingénieur généraliste mais également car j’adhère aux valeurs que l’école défend. En effet, la solidarité, l’esprit collectif et l’esprit de promotion que souhaite développer l’école m’ont marqué.
Pour cette raison, dès ma première année au sein de l’ICAM, j’ai souhaité m’investir dans la vie de l’école. Ma promotion m’a donc élu, entouré d’une équipe d’une dizaine de personnes, président du Bureau de Promotion. L’organisation de nombreux évènements ont permis d’assurer une certaine cohésion et de créer un vrai esprit de promotion. Les diverses activités sportives et collectives pratiquées durant les weekends de promotion annuels permettaient aux élèves de se découvrir dans un contexte différent et de réunir l’ensemble de la promotion.
De plus, je me suis engagé pour l’année 2017-2018 dans le BDE ATLANT’ICAM, pour animer et développer encore la vie étudiante et associative sur le site de l’ICAM Toulouse.
Enfin, tout au long de mes études, je me suis engagé dans 2 sports avec les équipes de l’ICAM. La première est l’association FOOT’ICAM, dans laquelle je me suis investi durant mes années de classe préparatoire. J’ai participé à de nombreux entrainements et à plusieurs matchs. Dès la troisième année, je me suis consacré uniquement à l’athlétisme, seul et en équipe. M’entrainant avec des camarades de la seconde à la cinquième année de l’ICAM, j’ai pu participer au marathon de Toulouse en relais l’année dernière. Je continue toujours les entraînements, en équipe, mais de manière un peu moins régulière.
C’est à ma manière l’idéal de notre école que j’ai cherché à promouvoir ces 4 années: faire jouer le relationnel positif plutôt que l’identitaire stérilisant.
Ayant vécu familialement à l’étranger, cette expérience a développé chez moi, le goût de l’ouverture, celui des langues et de la découverte d’autres cultures. Ainsi, j’ai effectué mes stages « Expérience de Travail Opérateur » (entreprise GAI, Italie) et « Première Mission en Entreprise » (société VA FILTRATION, Etats-Unis) à l’étranger. Lors de ces deux expériences, j’ai pu occuper différents postes: du montage sur la chaine d’assemblage au dessin industriel de machines par CAO; ceci m’a permis d’observer le fonctionnement en profondeur de ces entreprises. Je souhaite, depuis longtemps, débuter ma carrière à l’international.
De plus, le fait d’avoir passé six mois à l’Université polytechnique de Milan et une année à l’Université de Laval, reconnues internationalement, et de suivre les cours quotidiennement en anglais et en italien, constituaient un atout dans la recherche de mon stage de fin d’étude.
Ayant trouvé un stage de fin d’étude au Canada, en banque d’investissement, je souhaiterais donc y retourner en février 2021, après mon mémoire. Afin d’acquérir de l’expérience dans ce domaine, à la suite de mon stage de fin d’étude, j’aimerais être embauché dans l’entreprise, et y rester pour élargir mes compétences dans les transferts et mouvements financiers.
Cependant, après 6 ans d’études payées avec 2 emprunts étudiants différents, il me serait impossible financièrement d’y retourner. Malgré les emplois durant les vacances et pendant l’année à Québec, je n’ai pas économisé assez d’argent pour que cette opportunité devienne réalisable sans une aide extérieure.
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