Trois étudiants de l’ESSEC traversent la côte Pacifique des États-Unis en rosalie, une sorte de quadricycle, pendant plusieurs semaines pour interviewer des diplômés de leur école sur leur parcours et leurs choix de carrière.
« Nous avons tous les trois déjà effectué un stage à l’international. Afin d’atteindre les neuf mois passés à l’étranger requis au cours de notre scolarité, nous voulions finir par une aventure sportive et humaine inédite », expliquent-ils. Ces trois étudiants de quatrième année du programme grande école de l’ESSEC s’apprêtent à se lancer dans cette aventure insolite. Leur ambition : aller à la rencontre d’anciens étudiants de leur école.
Rencontrer des diplômés de l’ESSEC
L’idée derrière cette initiative : réaliser des entretiens, face caméra, avec des diplômés de leur école qui travaillent aux États-Unis. Un moyen de « récolter des témoignages éclairants sur leurs trajectoires de carrière et les décisions importantes qui ont façonné leur vie » précisent les trois étudiants.
Ce projet de fin d’étude intitulé « La Quatrième Roue du Carrosse« a été mûri par Alexandre, Jean-Baptiste et Thomas. Au cours de leur voyage, ils pédalent tous les trois pendant un bout de chemin et discutent sur le parcours de leur interlocuteur. Tout sera retranscrit par vidéo. Ils ont aussi pour ambition de récolter 8 bourses sociales à hauteur de 32000 euros en partenariat avec la fondation ESSEC.
Mais pourquoi en rosalie ? Voici leur réponse : « en janvier 2017, nous sommes partis en voyage entre amis à Séville et nous avons été surpris d’apercevoir autant de rosalies sur la place centrale de la ville. Ce mode de transport convivial nous a fait beaucoup rire et nous sommes donc partis de ça pour créer notre périple », racontent les étudiants.
D’ailleurs,ils construiront eux-même leur rosalie !
S’inspirer des parcours de leurs aînés
Ces entretiens seront diffusés aux étudiants pour les aider dans leurs choix de parcours. “Nous souhaitons partager des témoignages inspirants de diplômés de l’ESSEC aux actuels étudiants et renforcer les liens entre les différentes promotions de l’école”, soulignent Alexandre, Jean-Baptiste et Thomas.
Car d’après eux beaucoup de diplômés de l’ESSEC travaillent sur la côte ouest des États-Unis. Grâce à LinkedIn ils ont pu en comptabilise 400.