Ingénieur. Développeur. Content manager. Auditeur. Data Scientist. Entrepreneur. Les opportunités professionnelles ne manquent pas et parmi les emplois de demain figurent des métiers qui n’existent pas encore aujourd’hui.
L’heure des programmes académiques figés dans le temps est donc révolue : si les étudiants soient s’adapter aux nouvelles exigences du monde du travail, les cursus proposés par les écoles doivent faire de même et s’adapter en termes de modularité. Peut-on imaginer enseigner des disciplines de la même manière aujourd’hui qu’il y a 50 ans ? Certainement pas. Et pourtant, de très nombreuses formations souffrent de leur incapacité à évoluer avec le temps.
Contrairement aux cursus universitaires, les Grandes Ecoles de commerce disposent de la possibilité d’adapter aisément leurs programmes avec le temps. Elles y sont contraintes : leur légitimité tient au fait de former des diplômés en phase avec les attentes des entreprises. Tout décalage entre ces deux éléments remettrait en cause leur légitimité : « Aujourd’hui, pour séduire les recruteurs, il faut faire preuve d’une forte capacité à résoudre des problèmes complexes, mais aussi d’esprit critique, de créativité, et d’une grande faculté de travail en équipe » affirme Sarah Cooper, directrice du Global BBA de NEOMA Business School.
Le Global BBA de NEOMA BS, un exemple de parcours modulaire
« You can’t just learn global business, you have to experience it! » : c’est la devise du Global BBA de NEOMA Business School qui s’attache à répondre à ces diverses problématiques de transformation du monde du travail. Dispensé par une des meilleures Grandes Ecoles de commerce de France, triple-accréditée (seules 1% des écoles de commerce mondiales le sont), ce cursus en quatre ans se construit en mêlant cours, échange à l’étranger (150 partenaires) et expériences professionnelles.
« L’essence même du Global BBA c’est l’agilité ! Nous avons conçu le programme pour permettre à nos étudiants d’évoluer et d’expérimenter, d’apprendre et de tester leurs compétences et leurs savoirs. Ils sont ainsi en mesure de capitaliser sur leur expérience et, progressivement, en découvrant leurs capacités, projets et motivations, de développer une solide expertise professionnelle. » poursuit Sarah Cooper.
Les deux dernières années font, quant-à-elles, l’objet de trois choix de parcours différents :
- Parcours Apprentissage : dès la troisième ou quatrième année, les étudiants alternent semaines en cours et semaines en entreprise. La spécificité de NEOMA est la possibilité d’offrir ce genre de cursus à l’étranger en réalisant des cours en ligne ;
- Parcours Entrepreneuriat : dès la troisième année, les cours sont adaptés aux problématiques entrepreneuriales. Les étudiants peuvent également lancer leur startup au sein de l’incubateur de NEOMA Business School ;
- Parcours Associations : en quatrième année, les étudiants les plus engagés dans la vie étudiante de l’école peuvent bénéficier d‘un emploi du temps aménagé et de crédits ECTS pour leur implication dans des projets associatifs à responsabilité.
La diversité de ces parcours permet ainsi d’appréhender différents types d’enjeux : l’apprentissage, et notamment celui à l’international, permet d’appliquer dans les faits les enseignements délivrés en cours tandis que l’entrepreneuriat permet de naviguer dans un monde incertain où les seuls objectifs et progrès que l’on ambitionne ne dépendent que de soi-même.
Quels débouchés pour le Global BBA de NEOMA ?
En dernière année, le choix du Business Track ou du Masters Track permet de s’orienter respectivement en vue d’une insertion sur le marché professionnel, ou d’une éventuelle poursuite d’études. Les débouchés offerts par ce type de programme sont ainsi très divers : 62% des étudiants entend poursuivre ses études en France ou à l’étranger (on peut citer Warwick Business School, le Trinity College de Dublin ou Hult International Business School). Le reste des diplômés privilégie une insertion professionnelle rapide, à travers une prise de fonction au sein d’entreprises aussi prestigieuses que LVMH, L’Oréal, Renault, Accor ou Nokia. 56% d’entre eux débutent à l’étranger.
C’est ainsi que les diplômés de ce type de cursus, enrichis d’expériences à l’international, en entreprises ainsi que dans leur campus, pourront appréhender les enjeux de demain et mettre le progrès technologique à leur service, et non l’inverse.