Non content de se lancer à l’international, la startup Luko souhaite attirer les talents étrangers avec sa nouvelle politique : « No border policy ». Son slogan « Stop Local, Think Global » traduit l’ambition du groupe qui est de séduire les meilleurs collaborateurs à travers le monde en leur proposant des conditions de travail exceptionnelles.
Après avoir fêté le palier des 150 000 assurés, Luko avait décidé de partir à la conquête de l’international en ouvrant un bureau en Espagne. Le projet est dans les tuyaux depuis plusieurs mois, mais la pandémie avait fortement ralenti les ambitions de cette jeune pousse de la French Tech. Après l’Espagne, la startup envisage d’ailleurs d’ouvrir une antenne dans un autre pays européen d’ici la fin de l’année 2021. Loin de se contenter de ses bureaux à l’étranger, Luko souhaite désormais attirer les talents, peu importe leur pays de provenance.
La « No border policy » de Luko
Luko a déployé une « No border policy ». Cette ambition s’inscrit dans la volonté des certains députés européens et ministres français d’avoir une politique de mobilité des travailleurs plus ouverte. Cédric O, Marlène Schiappa ou Franck Riester ont affiché leur ambition d’attirer plus de talents européens au sein de l’Hexagone, notamment au sein des startups de la French Tech.
Avec sa « No border policy », Luko propose des conditions de travail exceptionnelles pour les salariés européens ou internationaux qui décideraient de rejoindre la startup :
- Une flexibilité sur le choix du lieu de travail, en respectant un décalage horaire maximum de 3h avec Paris
- Des avantages similaires à ceux proposés aux salariés français
- Un accompagnement pour toutes les démarches administratives
Créer une culture internationale au sein de Luko
Cette nouvelle politique de Luko démocratise le télétravail qui se déploie à plus large échelle. Actuellement, 40% des collaborateurs de la startup ont un contrat en télétravail. Elle permet également de créer un véritable environnement multiculturel au sein d’une société qui accueille déjà 17 nationalités. « Pour créer une entreprise globale, il ne suffit pas de lever des fonds à l’international : il faut également créer une culture qui dépasse les frontières de la France et miser sur l’humain et les talents, où qu’ils soient. À ce titre, c’est aussi notre rôle d’être moteur pour offrir à nos salariés la flexibilité et la culture d’entreprise nécessaire à leur épanouissement personnel et professionnel en France, mais également à l’étranger si leurs attaches s’y trouvent », indique Raphaël Vullierme, co-fondateur et CEO de Luko.
Cette internationalisation et ce développement s’accompagnent forcément de recrutements. Luko a ouvert plus de 25 postes en France et à l’international. Tu peux postuler directement sur le site de la startup !
Lire aussi : L’interview de Raphaël Vullierme.
